Le soleil, sur le sable, ô lutteuse endormie,
En l'or de tes cheveux chauffe un bain langoureux
Et, consumant l'encens sur ta joue ennemie,
Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux.
De ce blanc Flamboiement l'immuable accalmie
T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux,
« Nous ne serons jamais une seule momie
Sous l'antique désert et les palmiers heureux! »
Mais ta chevelure est une rivière tiède,
Où noyer sans frissons l'âme qui nous obsède
Et trouver ce Néant que tu ne connais pas.
Je goûterai le fard pleuré par tes paupières,
Pour voir s'il sait donner au coeur que tu frappas
L'insensibilité de l'azur et des pierres.
tristesse d'été de mallarmé
tinha para dizer-te outro verão. mais quente. menos só. mais quieto. menos vento - um onde coubessem os nossos braços. que de quatro se fizeram dois. tão sós. tanto - tinha para dizer-te lugares mais felizes. árvores com troncos altos. ramos soltos. folhas verdes. cheiro a terra. verde-mar. sem algas. sem sal - lugares de histórias. amores imensos. sorrisos ternos. sossego - nenhum verão assim te darei. por não serem minhas as estações mansas - desculpa.